Ma Ville
Ma ville est douce et gaie et de beaux arbres
Bordent les rues calmes comme des promenades
Les boutiques neuves aux devantures de marbre
Remplacent les anciennes à l’allure maussade
Ma douce ville où les vieux les yeux rieurs,
Bourrent une pipe sur le pas de leur maison
Est si tranquille que l’on ignore les heures
Le coeur saisi d’une joie sans raison
Ma tendre ville, la nuit tombe doucement
Sur ta rivière et sur tes champs
Les cloches de l’église carillonnant
Annoncent qu’une journée s’enfuit dans le temps
Ma ville, c’est ma jeunesse et mon foyer,
Les tendres souvenirs de mon enfance passée
Les parfums de l’automne, les senteurs de l’été
Tout un monde de rêve où il fait bon flâner…
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